Sexualité de l'Etat : le covid interrompu ... - Citoyen d'abord

Dans les lieux intimes de l'Elysée et de Matignon , pas de batifolage depuis mars dernier , où un conseil scientifique a travaillé pour limiter les contacts et conséquemment les effusions de nuit et de jour !!

Pour vaincre la redoutable pandémie se répandant à vive allure , les gouvernants ont retenu le " covid interrompu " , vieux procédé devant empêcher physiquement la reproduction , qui fut remplacé par le préservatif et la pilule contraceptive ... infiniment plus efficaces .

Techniquement , cela s'est appelé le confinement , dispositif  aggravé un temps par le couvre-feux .

Paradoxalement , en matière de sexualité des citoyens et citoyennes , il est à craindre que les longs séjours sur canapé et sous les couettes se traduisent l'an prochain par un afflux de bébés-covid , un nouveau "baby-boom" pour parler bien de chez nous ...

Encore faudra-t-il que les jeunes partenaires , candidats parents ,ne soient pas décimés avant que la vaccination s'impose .

Mais les effets secondaires du confinement , que des médecins et psychologues redoutent comme prochains dommages collatéraux , ne seront probablement pas négligeables .

L'Etat , à défaut d'avoir fait oeuvre opportune de prévention sanitaire , sera-t-il coupable , plus que responsable , d'incompétence curative ?